J'aime me balader dans les méandres de mes souvenirs, à la recherche de ces instants de vie qui ont laissé une empreinte indélébile. Ces moments où l'émotion brute a pris le dessus, où les sens se sont aiguisés, où le cœur a battu plus fort. C'est là, dans ces fragments du passé, que je puise mon inspiration, que je trouve la matière première de ma créativité. Parfois, c'est un rire d'enfant qui résonne encore dans mes oreilles, d'autres fois, c'est le souvenir d'un paysage qui m'a coupé le souffle, ou encore la sensation d'un regard qui a croisé le mien. Ces moments, je les revisite, les transforme en émotions pures, en sensations palpables. Aujourd'hui, je vous invite à explorer le désir dans sa forme la plus brute, la plus jubilatoire, lorsque les papillons dansent, qu’il y a cette petite étincelle, là, au creux de notre ventre. C'est mon désir, dans sa version la plus pure et la plus déjantée. Pas besoin de mode d'emploi, pas besoin de garantie, juste cette sensation délicieusement bancale qui me fait dire : "Tiens, tiens, qu'est-ce qui se passe par ici ?" Et toi, ça te fait pas ça parfois ? C'est comme si quelqu'un avait mis un peu de piment dans mon café, sans te prévenir. Une surprise épicée qui réveille les papilles et fait danser les neurones. Pas de promesse de happy end, juste le plaisir de sentir quelque chose vibrer, de te dire qu'il y a de la vie là-dedans, c'est comme une boîte de chocolat où tu ne sais pas toujours ce qui t'attend. Mon désir, c'est un peu comme mon fils quand il interpelle l'artiste sur scène pour répondre à sa tirade : ce n'est pas vraiment confortable, on ne sait plus comment réagir, mais c'est sacrément vivifiant. C'est un coup de pied amical dans les habitudes, une invitation à sortir de ta zone de confort, surtout si ta zone de confort, c'est ton canapé en caleçon et une playlist des années 80. Tu vois peut-être ce que je veux dire !? Et puis, il y a cette espèce de super-pouvoir qui se déclenche : je vois la beauté partout. Un rayon de soleil qui fait des ombres chinoises sur le mur, un vieux qui fait des bulles de savon dans la rue, un pigeon qui fait du moonwalk sur un banc... Tout devient prétexte à l'émerveillement, à la rêverie, à l'extase contemplative. (Et oui, cette pensée s'ajoute à l'émerveillement, c'est comme ça !) Alors oui, mon désir, ça peut être un peu casse-pieds, un peu envahissant, un peu "je-veux-tout-tout-de-suite". Mais c'est aussi un sacré moteur, un carburant pour l'imagination, une invitation à accueillir la vie à bras-le-corps, même si on devine que ça va chatouiller. Et puis, soyons honnêtes, c'est quand même plus marrant que de faire la queue à la poste un lundi matin, non ? Ce désir, cette énergie vitale, c'est ce qu'éveille cette peinture. Sur un fond obscur, presque abyssal, des mouvements explosifs se déploient, comme un feu d'artifice soudain et inattendu. Les couleurs vives et les formes dynamiques s'entremêlent, s'élancent, se percutent, créant une sensation de mouvement perpétuel, de vie en ébullition. C'est l'écho visuel de cette étincelle intérieure, de cette force qui nous pousse à explorer, à ressentir, à vivre pleinement.
Ju Mirfak le 01/03/2025 06:53
J'aime me balader dans les méandres de mes souvenirs, à la recherche de ces instants de vie qui ont laissé une empreinte indélébile. Ces moments où l'émotion brute a pris le dessus, où les sens se sont aiguisés, où le cœur a battu plus fort. C'est là, dans ces fragments du passé, que je puise mon inspiration, que je trouve la matière première de ma créativité. Parfois, c'est un rire d'enfant qui résonne encore dans mes oreilles, d'autres fois, c'est le souvenir d'un paysage qui m'a coupé le souffle, ou encore la sensation d'un regard qui a croisé le mien. Ces moments, je les revisite, les transforme en émotions pures, en sensations palpables. Aujourd'hui, je vous invite à explorer le désir dans sa forme la plus brute, la plus jubilatoire, lorsque les papillons dansent, qu’il y a cette petite étincelle, là, au creux de notre ventre. C'est mon désir, dans sa version la plus pure et la plus déjantée. Pas besoin de mode d'emploi, pas besoin de garantie, juste cette sensation délicieusement bancale qui me fait dire : "Tiens, tiens, qu'est-ce qui se passe par ici ?" Et toi, ça te fait pas ça parfois ? C'est comme si quelqu'un avait mis un peu de piment dans mon café, sans te prévenir. Une surprise épicée qui réveille les papilles et fait danser les neurones. Pas de promesse de happy end, juste le plaisir de sentir quelque chose vibrer, de te dire qu'il y a de la vie là-dedans, c'est comme une boîte de chocolat où tu ne sais pas toujours ce qui t'attend. Mon désir, c'est un peu comme mon fils quand il interpelle l'artiste sur scène pour répondre à sa tirade : ce n'est pas vraiment confortable, on ne sait plus comment réagir, mais c'est sacrément vivifiant. C'est un coup de pied amical dans les habitudes, une invitation à sortir de ta zone de confort, surtout si ta zone de confort, c'est ton canapé en caleçon et une playlist des années 80. Tu vois peut-être ce que je veux dire !? Et puis, il y a cette espèce de super-pouvoir qui se déclenche : je vois la beauté partout. Un rayon de soleil qui fait des ombres chinoises sur le mur, un vieux qui fait des bulles de savon dans la rue, un pigeon qui fait du moonwalk sur un banc... Tout devient prétexte à l'émerveillement, à la rêverie, à l'extase contemplative. (Et oui, cette pensée s'ajoute à l'émerveillement, c'est comme ça !) Alors oui, mon désir, ça peut être un peu casse-pieds, un peu envahissant, un peu "je-veux-tout-tout-de-suite". Mais c'est aussi un sacré moteur, un carburant pour l'imagination, une invitation à accueillir la vie à bras-le-corps, même si on devine que ça va chatouiller. Et puis, soyons honnêtes, c'est quand même plus marrant que de faire la queue à la poste un lundi matin, non ? Ce désir, cette énergie vitale, c'est ce qu'éveille cette peinture. Sur un fond obscur, presque abyssal, des mouvements explosifs se déploient, comme un feu d'artifice soudain et inattendu. Les couleurs vives et les formes dynamiques s'entremêlent, s'élancent, se percutent, créant une sensation de mouvement perpétuel, de vie en ébullition. C'est l'écho visuel de cette étincelle intérieure, de cette force qui nous pousse à explorer, à ressentir, à vivre pleinement.